Emmanuel Perrin, conseiller municipal à la délégation Education à l’environnement de la ville de Creil (60) et enseignant au lycée, a récemment partagé sa perspective éclairante sur l’impact et la pertinence de notre programme Carbone Scol’ERE dans sa commune.
« Ce que j’ai tout de suite trouvé intéressant, c’est le fait que le dispositif en classe soit poursuivi à la maison avec le numérique. Et avec le programme Carbone Scol’ERE, les enfants apprennent à se servir d’un smartphone ou d’un ordinateur comme outils ! », confie Emmanuelle Perrin, conseiller municipal de la ville de Creil (60). C’est notamment parce qu’il considère que la force de Carbone Scol’ERE réside dans sa capacité à prolonger l’apprentissage au-delà des murs de l’école grâce au numérique, que l’élu a participé au déploiement du programme dans sa commune. Cette continuité entre l’école et la maison permet aux élèves d’appliquer ce qu’ils apprennent de manière pratique et engageante, ce qui est essentiel pour leur compréhension.
Concrétiser la transition écologique
Emmanuel Perrin salue par ailleurs la capacité de Carbone Scol’ERE à relier les concepts environnementaux abstraits aux gestes quotidiens des élèves. Il affirme : « Ce qui est intéressant dans le dispositif que vous proposez, c’est que, certes, on parle de gaz à effet de serre, mais on en parle de manière concrète via les gestes quotidiens. » Selon lui, cette approche permet aux élèves de « donner du sens à leurs apprentissages », ainsi que d’adopter des comportements durables en les connectant à leur vie quotidienne, rendant ainsi l’apprentissage plus pertinent et actionnable.
Et de fait, pour le représentant de la délégation Education à l’environnement de la ville, cette notion de mise en pratique des notions théoriques a toute son importance : « On sait qu’on a des enfants qui sont prescripteurs. Donc le choix politique est assez simple : si on veut agir pour la transition écologique, ce programme-là est un bon programme, parce qu’on a la théorie et la pratique. Parler de transition écologique dès le plus jeune âge, c’est permettre la construction par les élèves de réflexes ou de gestes dont on a besoin. »
Une confiance en un cadre pédagogique sécurisant
Enfin, la qualité du cadre pédagogique offert par Carbone Scol’ERE est un aspect qu’Emmanuel Perrin apprécie particulièrement. Il explique : « Quand j’ai entendu parler de Carbone Scol’ERE, j’ai vite senti qu’il y avait un cadre qui était sécurisant, d’autant plus qu’on avait des retours indiquant que les interventions sont de grande qualité. » Ce cadre structuré assure aux enseignant·es que les interventions sont non seulement fiables mais aussi de haute qualité, ce qui est crucial pour offrir une expérience d’apprentissage enrichissante.
Lui-même enseignant au lycée, Emmanuel Perrin souligne que les ateliers Carbone Scol’ERE favorisent des apprentissages transversaux. Il explique : « Par l’intermédiaire de Carbone Scol’ERE, on travaille, certes, sur les émissions de gaz à effet de serre, mais on travaille aussi sur l’écriture, sur la lecture, et parfois même sur du calcul. » Il l’affirme, le programme s’intègre parfaitement dans les priorités locales en matière d’éducation et contribue à enrichir l’expérience d’apprentissage des élèves.
De plus, Emmanuel Perrin met en avant la confiance qu’inspire Carbone Scol’ERE. Il précise : « Si je devais parler du programme à d’autres élu·es, j’insisterais sur le contenu des interventions, sur la continuité des apprentissages avec le numérique, et surtout sur la confiance possible dans une structure comme Léo Lagrange. D’autant plus que je suis assez sensible à l’éducation populaire, j’estime que c’est quelque chose de très sérieux. » Une confiance essentielle pour garantir l’efficacité et la pérennité du programme.
Carbone Scol’ERE France est fier de répondre aux attentes des éducateur·rices et des décideur·euses comme Emmanuel Perrin. Son retour positif est un encouragement à poursuivre notre mission : offrir aux jeunes une éducation environnementale concrète, engageante et durable.